Monde

  • Vent de Panique à la Maison Blanche Trump interrompu en pleine conférence de presse et mis à l’abri, après un tir

    Le président des États-Unis, Donald Trump, a brusquement interrompu une conférence de presse, ce lundi soir, après un coup de feu tiré à l’extérieur de la Maison Blanche.

    Un vent d’inquiétude a brièvement soufflé, lundi, sur la conférence de presse quotidienne de Donald Trump, quand le président des États-Unis a été prestement escorté loin de son pupitre et mis à l’abri par sa garde rapprochée à la suite d’un incident à l’extérieur de la Maison Blanche. « La police a tiré sur quelqu’un », a expliqué Donald Trump à son retour devant les journalistes, après quelques minutes d’interruption. « C’était à l’extérieur » de la barrière de la Maison Blanche, a-t-il précisé. À la question de savoir si ce suspect était armé, le président a répondu : « D’après ce que je comprends, oui. »

    « Le Secret Service peut confirmer qu’un agent a fait usage de son arme à l’angle de la 17e rue et de Pennsylvania Avenue », un croisement tout proche de la Maison Blanche, a dans un premier temps tweeté cette police d’élite chargée de la protection des hautes personnalités américaines. Un « homme » et un « agent du Secret Service » ont été transportés vers un hôpital voisin, a ajouté l’agence fédérale, assurant qu’à « aucun moment » le complexe de la Maison Blanche n’avait été violé.

    « Position de tireur »

    Le Secret Service a ensuite raconté en détail la scène dans un communiqué diffusé sur Twitter. Un homme de 51 ans s’est approché d’un officier des services secrets qui se tenait au coin de la 17e rue et de Pennsylvania Avenue, à un pâté de maisons de la Maison Blanche. Le suspect a dit à l’officier qu’il avait une arme et a couru « agressivement » vers lui, sortant un objet de ses vêtements. Il a ensuite pris une « position de tireur », comme s’il avait l’intention de tirer, et l’officier des services secrets lui a alors tiré une balle dans le torse.

    letelegramme.fr

  • Vatican : L’ancien pape Benoît XVI mal en point

    Sept ans après sa démission, l’ancien Pape Joseph Ratzinger est « extrêmement fragile », selon un article du quotidien régional allemand Passauer Neue Presse, qui cite un biographe de l’ancien pape, Peter Seewald. A 93 ans, celui qui avait pris le nom de Benoît XVI souffre d’une maladie infectieuse au visage.

    Benoît XVI souffre d’érysipèle au visage, une maladie infectieuse caractérisée par une tuméfaction rougeâtre, qui entraîne de fortes démangeaisons et des douleurs intenses, a indiqué le journal. « D’après Seewald, le Pape émérite est désormais extrêmement fragile (…). Ses capacités intellectuelles et sa mémoire ne sont pas affectées, mais sa voix est à peine audible », a écrit le Passauer Neue Presse.

    Peter Seewald a rencontré samedi à Rome Benoît XVI pour lui présenter sa biographie, selon le quotidien. « Lors de cette rencontre, le pape émérite, en dépit de sa maladie, s’est montré optimiste et a déclaré que si ses forces augmentaient à nouveau, il reprendrait peut-être sa plume », a-t-il ajouté.

    Benoît XVI a rendu visite à son frère aîné Georg, malade, en Allemagne en juin, marquant ainsi son premier voyage hors d’Italie depuis sa démission surprise en 2013. Georg Ratzinger est mort deux semaines plus tard. Les deux frères, tous deux ordonnés prêtres le même jour en juin 1951, étaient très proches. Premier pape à démissionner en près de 600 ans, Benoît XVI, qui avait invoqué des raisons de santé, mène une vie retirée dans un petit monastère du Vatican depuis sa renonciation.

    AFP

  • SARAN SEREME NOMMEE MEDIATEUR DU FASO

    Une dame remplace une autre. Alima Déborah Traoré cède son fauteuil à tantie Sérémé. Actrice de l’élan des insurgés au Burkina Faso en 2014 qui a dégagé Blaise Compaoré et son establishment, l’amazone Saran Sérémé épouse Séré a été nommée ce jour mercredi 27 septembre 2017 Médiateur du Faso, par le Président du Faso au cours du Conseil des Ministres de. Présidente du Parti pour le Développement et le Changement, est née le 17 novembre 2017 à Ouagadougou.

    Chef d’Entreprise, elle est diplômée de l’Ecole Nationale d’Administration au Mali. Elle avait été candidate malheureuse à la présidentielle 2015 qui a donné Roch Marc Kaboré vainqueur.
    Elle remplace à ce poste, Mme Alima Déborah  Traoré-Diallo.

    DIASPO24.INFO

  • 3000 BACHELIERS BURKINABE EN CI

    L’Ambassade du Burkina Faso en Côte d’Ivoire a reçu, pour la rentrée universitaire 2017-2018, les dossiers d’inscriptions dans les universités publiques du Burkina plus de 3000 demandes provenant d’élèves burkinabè ayant obtenu leurs baccalauréats dans les lycées et collèges ivoiriens.

    En effet, du 28 août au 11 septembre 2017, ils étaient trois mille cent trente cinq (3135) nouveaux bacheliers burkinabè qui ont déposé leurs dossiers d’inscription dans l’une des universités publiques du Burkina.
    Au terme de cette opération qui a mobilisé les personnels de l’Ambassade et des Consulats généraux du Burkina à Abidjan et Bouaké ainsi que le Consulat honoraire de Soubré, SEM. Mahamadou ZONGO, Ambassadeur du Burkina en Côte d’Ivoire, a indiqué avoir reçu, à la date de clôture, 3135 dossiers répartis ainsi qu’il suit : 1523 dossiers à l’université Joseph KI-ZERBO Ouaga 1 ; 978 dossiers à l’université Ouaga 2 ; 464 dossiers à l’université de Koudougou Norbert ZONGO et 170 dossiers à l’université Nazi BONI de Bobo-Dioulasso.

    L’Ambassadeur ZONGO note une croissance par rapport au chiffre de l’année précédente. « Il y a une hausse bien visible du nombre des postulants par rapport à l’année passée. En effet, de 2180 postulants en 2016-2017, ils sont à 3135 à avoir déposé leurs dossiers par le canal de l’Ambassade pour une inscription dans une des universités publiques du Burkina Faso. Nous avons noté une évolution de plus 44,22%. »
    A la question de savoir quelles ont été les difficultés rencontrées lors de cette opération, le diplomate retient entre autres, les difficultés liées à l’orientation des bacheliers de séries techniques (G, F ; H…) ; les cas des dossiers incomplets liés à l’absence d’extraits de naissance et de cartes d’identité consulaires ; la non-maitrise par les parents et les postulants du mécanisme de choix des filières ; le non-respect des délais de dépôts ; la difficulté de la diffusion de l’information dans les différentes zones.

    Comme conseils ou suggestions à l’endroit l’adresse des futurs étudiants et à leurs parents en vue d’amélioration, l’Ambassadeur leur recommande l’établissement par avance des extraits de naissance et pour les postulants à une bourse nationale, l’établissement des certificats de nationalité burkinabè, des cartes d’identité consulaires, des carnets de famille et des attestations de revenu.
    L’Ambassadeur leur demande de toujours aller à la source pour avoir les bonnes informations sur les universités publiques, les filières d’orientation, les différents tests ou concours d’entrée en première année en consultant régulièrement les sites Webs des universités publiques et des Ambassades, et enfin, de respecter les périodes de dépôt des dossiers d’orientation.

    En guise de conclusion, l’Ambassadeur Mahamadou ZONGO a saisi cette opportunité pour souhaiter une très bonne année académique à tous les étudiants. Aux agents récepteurs des dossiers et aux autorités consulaires, il a exprimé sa satisfaction pour le  travail bien fait.

    Service Presse et Relations publiques

    Ambassade du Burkina en Côte d’Ivoire

  • DIASPORA – ZOMA BASILE NOUVEAU PRESIDENT DU RECOMDBCI

    Au taux de 92, 30% des voix, Basile Zoma, anciennement Chef du service Photo à l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI), a été élu le samedi 26 aout 2017 tout nouveau Président du Réseau des Communicateurs de la Diaspora Burkinabè en Côte d’Ivoire (RECOMDBCI), à l’issue d’une Assemblée générale élective dans la commune de Koumassi. Candidat unique, il a obtenu au décompte, 12 voix sur 13 et un bulletin nul, donc sur un score soviétique de 92,30% des voix.

    Il remplace ainsi TondéKassoum, qui a eu le mérite de diriger les 3 premières années du Réseau et dont le mandat s’est achevé depuis avril 2017. Basile Zoma a promis redonner souffle et vie à cette plateforme de professionnels qui ont à cœur de contribuer au rayonnement de l’image de marque du Burkina Faso et de la communauté burkinabè en Côte d’Ivoire. Il sera d’ores et déjà aidé dans l’inspection des finances de l’Association par le Journaliste Abel Sacré et Bationo Dénis, élus Commissaires aux comptes.
    Pour rappel, Basile Zoma a une riche carrière de Reporter Photo, après avoir successivement prêté ses services à l’Observateur Paalga, aux quotidiens ivoiriens Le Populaire, 24h et dans des Agences de Communications. Aujourd’hui, il est PDG de BZ Production, une structure de Communication qu’il a créée il y a déjà quelques années et qui fait parler d’elle à par des documentaires, des conceptions vidéo et des spots de bonne facture.

    Basile Zoma est père d’un enfant de 10 ans. Tous nos vœux de réussite l’accompagnent, pour que vive le RECOMDBCI.

    DIASPO24.INFO